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14 Comments

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 3 avril 2015

    Je vais travailler sérieusement le sujet, mais je pense en consultant le « mind mapping » qu’il est déjà très important de trouver un patient hyper motivé pour son projet de vie, car il y a toute une construction à réaliser…. AU BOULOT LES PNLISTES.

    • bernard.frit@temperance.fr

      Reply Reply 9 avril 2015

      Bonjour Annie,

      En fait, c’est une part importante du travail pendant la thérapie de faire émerger le projet de vie. C’est assez rare qu’une personne dépendante soit spontanément très motivée pour un projet de vie. C’est aussi ça la difficulté de ce genre de thérapie.

  • debail

    Reply Reply 7 avril 2015

    bonjour
    j’aimerais en savoir un peu plus sur votre programme de formation
    en effet, je travaille dans plusieurs directions dans les cas d’addictions
    mais je suis toujours en recherche d’axes nouveaux de travail
    cdlt
    valerie

    • Bernard FRIT

      Reply Reply 9 avril 2015

      Bonjour Valérie,

      Vous avez du recevoir le programme détaillé de la formation.
      Vous pouvez me poser des questions, soit ici, soit en MP ou au téléphone.
      Bonne journée,

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 9 avril 2015

    Bonsoir Bernard,
    Merci de ta réponse, en ce qui concerne la dépendances au tabac, est ce que la thérapie est très longue, dans le cas d’une grande motivation à cause d’un problème de santé, combien des séances en moyenne ?
    Question, sûrement très compliquée, j’imagine, pardon de la poser ! tu me connais …

    • Bernard FRIT

      Reply Reply 12 avril 2015

      Bonjour Annie,
      J’ai un peu tardé à répondre mais me voilà. Si on a affaire à une addiction importante au tabac (j’appelle ça les « fumeurs incompressibles » car ils ont vainement essayé d’arrêter de nombreuses fois), alors on revient dans le cas général des addictions à l’alcool, aux drogues, à l’anorexie/boulimie. Dans mon expérience et en thérapie intensive en suivant le processus de thérapie des addictions décrit dans la carte heuristique (mindmap) la durée effective va être d’environ 20 à 25 heures de thérapie.

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 17 avril 2015

    Bonjour Bernard,
    Oui, cela semble très long, mais je comprend mieux maintenant, après avoir reçu une patiente qui disait vouloir résoudre cette addiction au tabac, alors que différents problèmes se cachent derrière celle-ci, et j’ai également découvert une autre dépendance qui était inavouée au départ, celle de l’alcool. Je suppose que la thérapie sera longue pour un cas comme celui-là, et une débutante comme moi, moi je souhaite m’accrocher. Le bouche à oreille commence à porter ses fruits.
    Peux-tu me donner quelques conseils pour mieux progresser et franchir les bonnes étapes ?
    D’avance merci, bonne journée.
    Annie.

    • Bernard FRIT

      Reply Reply 17 avril 2015

      Bonjour Annie,
      Le cas que tu relates est assez fréquent. Il est important de traiter l’alcool avant le tabac.
      Ensuite travailler régulièrement sur le projet de vie sous tous ses aspects : personnel, professionnel, affectif, etc…
      Et suivre l’ordre des opérations du mindmap.
      Maintenant, sans prêcher pour ma chapelle, c’est sûr que c’est plus facile et plus limpide quand on a suivi la formation « Hypnose, PNL et Addictions » !!! ;)
      Ou alors faut attendre que j’écrive un bouquin sur le sujet… ;)
      Bon courage,
      Bernard.

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 17 avril 2015

    Oui c’est sûr, ta chapelle est la meilleure solution, mais pour l’instant…
    Je vais suivre tes conseils, merci encore et bonne journée.
    J’attend avec impatience la lecture de ton livre !

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 17 avril 2015

    Je suis en train de lire le livre de Michel FACON qui mets l’accent sur l’importance de la Synchronisation et la Congruence, qui révéleront ensuite, souvent un déni , très intéressant, ce livre je trouve. Je pense qu’il est à conseiller.
    Bonsoir à tous.

  • DAGOURET ANNIE

    Reply Reply 17 avril 2015

    C’est : FACE AUX DEPENDANCES, LE SAVOIR-FAIRE DE LA PNL. ( mais ne remplace en rien la formation, cela va de soit ! )

  • Bonjour Bernard, …et déjà un grand Merci pour ces documents généreusement partagés. J’ai suivi (en 2003) 3 jours de thérapie intensive avec toi et Elisabeth, j’en garde un souvenir précieux. L’année suivante, je commençai une formation en PNL et Hypnose. Cela fait 8 ans que j’accompagne des personnes (à Lausanne en Suisse). Un frein que je rencontre, il me semble, en particulier avec les certaines personnes souffrant de dépendance, sont les « attentes magiques » liées l’hypnose comme méthode « spectaculaire », une forme de passivité, la déception ou la tendance à se décourager quand il s’agit de changer activement quelque chose en soi ou dans la vie quotidienne, la complaisance dans des routines … même quand le travail de thérapie rend les choses plus facile. Observe tu aussi ces freins ? comment y répondre ? Il me semble que cela se joue dans les 1ers instants de la rencontre. Merci d’avance pour ta réponse. Laurence

    • Bernard FRIT

      Reply Reply 20 avril 2015

      Bonjour Laurence,
      Je suis heureux de te savoir professionnelle et peut-être d’y avoir un peu contribué… ;)
      Dans mon expérience, j’ai bien sûr rencontré ce manque de motivation et/ou de détermination, bien que dans la formule intensive que nous avons mise au point, un premier tri s’opère pour ceux qui n’ont pas envie de faire cet effort de bloquer une semaine complète.
      Cependant, il m’est arrivé de renvoyer des gens chez eux au bout de la première matinée.
      Je crois que dans ce travail là, si tu n’es pas convaincue de la détermination de la personne, alors tu peux lui en faire part et dire en toute honnêteté que tu n’a pas envie de perdre ni ton temps, ni celui de l’autre personne. Ca peut vraiment faire electro-choc. Autant que je m’en souvienne ça marche très bien 1 fois sur deux. Je me rappelle de plusieurs personnes « renvoyées » qui sont revenues quelques mois plus tard, parfaitement déterminées cette fois.
      Le travail sur les addcitions nécessite une totale adhésion de la personne ou bien c’est voué à l’échec. La part du thérapeute dans cette détermination est à rechercher dans sa totale congruence et son aptitude à mettre en place un rapport de confiance. Il n’y a pas de place pour l’à peu près dans ce domaine.
      Je confirme que ça se met en place dans les premiers instants. Il m’arrive parfois de voir une personne entrer par la porte et de savoir instantanément qu’avec elle ça va le faire.
      Quant à la complaisance dans les routines dont tu parles, c’est un handicap très important car je considère que l’élément le plus déterminant de la réussite d’une thérapie avec une addiction c’est la capacité qu’aura la personne à modifier son contexte de vie. La cause principale de rechutes est à chercher là.
      Bonne journée,
      Bernard

  • Tout à fait d’accord avec cette image que je trouve très représentative de la fameuse carte mentale !!

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